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Tuesday, May 17, 2011

Cup Winners Cup 1995 1996 Paris SG Rapid Wien

Final
8 mai 1996
Stade 
Roi Baudouin, 
Brussells
Attendance : 37 500
Referee: M. Pairetto
  J'ai vécu ce succès comme un événement très important pour le club. Non seulement parce que nous avions réalisé des parcours convaincants, les saisons précédentes, en Coupe d'Europe, hélas! sans jamais pouvoir conclure. Mais aussi parce que, cette année, nous restions sur un échec douloureux en Championnat. Cette victoire est plus qu'une formidable consolation. Nous étions déjà concentrés quand a débuté le stage à Hendaye. Lors des entraînements, nous avions besoin de beaucoup travailler pour nous rassurer. Nous n'avons pas hésité à reproduire les gestes de base, afin de retrouver, entre autres, les repères collectifs que nous avions perdus. Il y a vraiment eu une ambiance de travail. 
 Mais ce n'était pas pesant. Nous étions même décontractés. Même si nous n'avons rien laissé au hasard. Aucun joueur ne pouvait échapper à cette mobilisation générale. C'était une préparation idéale, dans le sens où nous avons su anticiper sur l'événement. Il y avait eu quelques tiraillements au sein du groupe, après l'échec en Championnat. Durant ce stage, nous avons décrété l'union sacrée durant dix jours, pour gagner «Le« match qu'il fallait remporter, Michel Denisot nous a rejoints pour le stage. Pierre Lescure est également venu nous délivrer son message. Un discours mobilisateur dans lequel il nous a demandé de retrouver notre confiance. Les dirigeants ont insisté pour que nous ne pensions qu'au match pendant dix jours, en faisant le vide par rapport au reste. Pour nous détendre, le soir, nous organisions des repas. Le meilleur souvenir reste une sortie en Espagne, avec Yannick Noah, où il y a eu beaucoup de complicité entre nous. Quant à Luis Fernandez, il nous a demandé de prendre nos responsabilités et d'accepter ces sacrifices. La pression est soudain montée d'un cran lorsque nous somme partis à Bruxelles. J'avais hâte que la rencontre arrive.

Malgré tout, j'étais tranquille. Je ne suis pas d'une nature à m'angoisser avant un match européen. L'arrivée au stade, deux heures avant le coup d'envoi, restera l'un de mes meilleurs souvenirs. Les tribunes étaient déjà remplies. Il y avait une ambiance formidable. Nous sentions qu'il y avait de l'émotion. Notre public nous a tout de suite applaudis. Il a compris pourquoi nous nous étions isolés, les jours précédents. Il ne nous en voulait pas. Lui aussi a su se mobiliser. Nos supporters se sont montrés à la hauteur à Bruxelles... c'était tout pour ce match, tout pour gagner! Nous n'avons jamais dévié de cet objectif. Après le coup d'envoi, nous avons eu dix minutes de flottement. C'était un round d'observation. Nous faisions circuler le ballon derrière, sans apporter de soutien à nos attaquants. Ensuite, nous nous sommes libérés, afin de nous installer dans cette finale. Progressivement, nous avons retrouvé de l'audace, pour, finalement, réaliser une prestation de qualité. Le point fort des Autrichiens étant l'engagement physique, nous avions décidé de couper leurs attaquants du reste de l'équipe, en les isolant devant, Lorsque Bruno NGotty a ouvert la marque, je me suis souvenu que beaucoup de finales européennes se terminaient sur ce score de 1 à 0. Mais il restait quand même une heure de jeu, même si nous maîtrisions parfaitement la rencontre. Nous nous sommes montrés costauds... Mis à part les dix dernières minutes, où nous avons trop reculé, le Rapid ne nous a jamais d'ailleurs inquiétés. Sur le but, je suis, plein axe, un spectateur privilégié. Je vois la balle partir très vite. La légère déviation du défenseur autrichien a suffi à recadrer la frappe. Car j'ai l'impression que la balle aurait terminé sur le poteau. Je me suis précipité vers Bruno, mais il court plus vite que moi, ça n'a pas été simple (rires)... J'étais heureux pour lui, car il a connu plus d'une moitié de saison difficile. C'est toujours bien qu'un joueur, avec une telle volonté et un tel état d'esprit, soit récompensé. C'était la preuve aussi que le club ne s'était pas trompé à son égard.
Le plus triste a été la sortie de Rai, après dix minutes de jeu. Nous savions, en plus, que cela pouvait être dommageable pour le groupe, parce que c'est un pion essentiel dans l'équipe. Sur le plan personnel, j'étais malheureux pour lui, parce qu'il avait fait venir à Bruxelles ses cinq frères de Sao Paulo. A la mi-temps, nous étions confiants, satisfaits de mener au score mais nous restions concentres, calmes. Il n'y avait aucune effervescence. Les dernières minutes du match m'ont vraiment paru longues. Il y avait ce sentiment du devoir accompli, avec toujours ce doute qui planait sur l'issue du match. D'autant que le Rapid nous a bougés dans les dernières minutes. C'était un devoir de gagner. Alors, au coup de sifflet final, le premier sentiment était celui de la délivrance. J'ai mis du temps à toucher la Coupe. La soulever était une satisfaction, mais, au-delà de ce moment rare, il y avait le bonheur d'avoir répondu présent au bon moment et d'avoir formé, avec mes parternaires, un groupe uni. Pour le retour à Paris, je ne m'attendais pas à un tel déploiement d'honneurs. Cela restera des instants priviiégiés. Depuis, on me demande souvent si je n'ai pas ressenti un vide, une fois le but atteint. Sincèrement, je n'ai pas cette impression. Je suis heureux d'avoir gagné un titre de cette importance avec le Paris Saint-Germain qui m'a beaucoup apporté, depuis cinq ans que je suis au club. Mais je suis vite redescendu de mon nuage. Ensuite, la vie reprend son cours normal. Et puis, la compétition ne nous laisse pas trop le temps de respirer.» 
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Caps















 Caps Doc









Cup Winners Cup 1995 1996 Paris SG Celtic Glasgow Both Legs

Secound Round
First and Second Leg
October & November 1995

 En 1994, Luis Fernandez revient au Paris Saint-Germain en temps qu’entraîneur. Durant la saison 1995-1996, le PSG dispose de l’un de ses effectifs les plus complets de son histoire. A la trêve hivernale, Youri Djorkaeff et les siens domine le championnat avec 12 points d’avance sur son premier poursuivant. Malheureusement, l’omniprésence de Luis Fernandez dans la vie du groupe agace. Les défaites s’enchaînent. Auxerre parvient à passer devant. Le PSG mise alors tout sur l’Europe. Inquiet par les tensions entre son coach et les joueurs, Michel Denisot fait alors appel à Yannick Noah pour ressouder le groupe avant la finale de la Coupe des Coupes contre le Rapid de Vienne. Noah propose aux joueurs de faire la fête, mais sans les dirigeants. La formule est payante. Le groupe évacue le fait d’avoir perdu le championnat et arrive en pleine confiance à la finale de la Coupe des Coupes. Le Paris Saint-Germain remporte le match 1-0 grâce à un coup franc surpuissant de Bruno N’Gotty. Yannick Noah a réussi son pari.


First Leg
19 October 1995
Parc des Princes, Paris

 Le PSG a bien failli manquer son match. Après avoir buté pendant plus d'une heure sur une défense écossaise intraitable, Paris réussit quand même une bonne opération en s'imposant au Parc face au Celtic de Glasgow, en 8es de finale aller de la Coupe des coupes. Les Parisiens se rendront donc en Ecosse dans quinze jours avec un petit but d'avance. Avantage capital pour un match retour que les joueurs du Celtic annoncent déjà infernal.
Dès le premier corner de la partie, Luis Fernandez invite ses troupes à calmer le jeu, à utiliser désormais ce qu'il appelle l'expérience européenne. Le match est capital. Le PSG piétine en championnat et, en face d'eux, hier soir, les joueurs au maillot cerclé vert n'avaient aucune intention de leur rendre la tâche facile. Certes, ces Ecossais n'ont pas la puissance financière des Rangers, les «Blues» de la communauté protestante de Glasgow. Mais ils possèdent le même acharnement guerrier. Le Celtic est là pour prouver qu'il est en train de renaître de ses cendres. Le club emblème des catholiques, né d'immigrés irlandais en 1888, a assaini ses finances depuis que l'homme d'affaires canadien Fergus McCann l'a pris en main l'an dernier. Et Tommy Burns, le nouveau manager, a bien l'intention de lui redonner l'aura qui était la sienne de 1965 à 1974.

Au bout d'un quart d'heure, la tactique de Burns semble payante. Ses joueurs empêchent de jouer les Parisiens, quadrillant chaque parcelle de leur zone défensive. Les Ecossais n'ont qu'une chose en tête: tenir bon en attendant un match retour sans pitié à Glasgow dans leur antre de Park Head.
Djorkaeff, sur le côté droit, Loko et Rai au centre, tentent d'emballer le match dès les premiers instants pour prendre de vitesse les Ecossais, éviter qu'ils appliquent leur schéma tactique. Loko manque de peu de transformer un centre venu de la droite par Laurent Fournier et qu'il envoie de la tête effleurer le poteau de Marshall, le gardien du Celtic. Les tribunes clairsemées du Parc des Princes frissonnent à ce présage d'une grande partie. Bravo et Guérin montrent aussi les dents pour prendre très haut une équipe venue arracher le match nul. Mais les alertes sur le flanc gauche de la part de Djorkaeff et du Brésilien Rai tombent à plat face à une défense calme et solide. Les joueurs du Celtic sont trois sur le porteur du ballon. Devant, Patrice Loko s'agite beaucoup, appelle les ballons. Mais rien ne passe.
Le PSG domine, mais timidement, laissant à son adversaire le temps de s'organiser. Les talonnades de Rai, Loko et Djorkaeff sont moins fructueuses qu'espéré. Le PSG pousse mais se heurte au double rideau défensif écossais. Heureusement pour les joueurs de Luis Fernandez, les contre-attaques menées par le Néerlandais Pierre Van Hooijdonk sont maladroites et les actions écossaises comptées. Sur son aile droite, l'Allemand Andreas Thom se montre plus incisif. Bernard Lama, de retour dans les buts parisiens après une blessure, se laisse embarquer loin de ses buts. Thom réussit à centrer un ballon sur la tête de son avant-centre, qui manque de peu la cage.
Après la pause, Tommy Burns sait qu'il tient le bon bout. «J'ai demandé à mes joueurs de se serrer les coudes», déclare l'entraîneur du Celtic. Difficile de faire mieux. Chaque action parisienne semble vouée à l'échec. Le PSG accélère le rythme, mais ne peut s'approcher des buts adverses. Guérin, Fournier et Djorkaeff multiplient les tirs mais hors de la surface. Paul Le Guen, le capitaine cantonné au poste de libero tente de venir prêter main forte à son attaque toujours stérile.
La délivrance va venir du côté gauche. Vincent Guérin lancé sur l'aile par Mahé déborde le défenseur adverse et glisse le ballon en retrait à Youri Djorkaeff. L'avant-centre parisien, malheureux quelques minutes auparavant avec un autre tir sur le poteau, contrôle de justesse son ballon, mais trompe tout de même Marshall du pied droit. Ce but va déstabiliser l'organisation adverse quelques minutes et permettre aux Parisiens d'espérer doubler la mise. En vain. «Je suis déçu que l'on ait encaissé ce but aussi tard, dira Van Hooijdonk en fin de rencontre. Il reste un autre match. A Glasgow».


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Second Leg
2 Novembre 1995
Park Head, Glasgow


 Une énorme ambiance attend les parisiens & les écossais qui n’ont qu’un but de retard sont près a faire vivre l’enfer au PSG. Mais le PSG version 95/96 est decidemment surprenant puisque après une tête de Walker détournée par Lama les parisiens vont trouvé la faille sur un superbe jeu a une touche de balle Djorkaeff remonte le ballon avec Rai qui décale Guérin pour le « une deux » remise sur Loko qui trouve Fournier qui reprend la balle en demi volée repoussé par le gardien de Glasgow dans les pied de Patrice Loko qui ouvre finalement le socre apres cette action d’ecole du PSG qui mène 1-0 sur la pelouse du Celtic après la premier demi-heure. Le PSG va doubler la mise dans le dernier quart-d’heure de la 1ere mi temps , Guérin déborde sur la gauche & Loko reprend la balle de volée & permet a Paris de mené 2-0 a la Mi temps. Le Celtic continu d’attaqué en 2e Mi Temps & Lama est obligé d’intervenir 2fois pour stoppé les attaques écossaise. Le PSG contrôle le match & sur une relance de Lama , Djorkaeff s’emmène le ballon d’une superbe aile de pigeon & centre en retrait pour Pascal Nouma qui clôture le Score & le Match.
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