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Monday, April 18, 2011

New York Cosmos Santos Pelé Farewell 1977

Farewell Game
1st of october 1977
Giants Stadium,
East Rutherford
Attendance 75000

« Love ! Love ! Love ! ». Trois fois, les soixante-quinze mille spectateurs du Giants Stadium ont répété avec Pelé ce mot qu'il venait de les exhorter à ne jamais oublier : « Je suis très heureux d'être là aujourd'hui, avec vous, pour ce grand moment de ma vie. Et j'aimerais profiter de cette occasion pour vous demander d'être attentifs à tous les enfants du monde. Nous en avons trop besoin. Tout passe, dans la vie. Pas l'amour. C'est la chose la plus importante du monde. Alors, vous allez crier avec moi...». Maintenant, Pelé pleure. On le voit sur tous les écrans de télévision du stade. En gros plan. Dans les bras de son ami de l'équipe du Brésil, Carlos Alberto, venu le rejoindre au New-York Cosmos l'année dernière. Dans ceux de Franz Beckenbauer, un coéquipier de fraîche date, pourtant. Et puis, dans ceux de Mohamed Ali, invité d'honneur avec Jeff Carter (le fils du président) de ce match historique.

Pour l'instant, Pelé a son maillot vert. Celui du New-York Cosmos, l'équipe dans laquelle. il est venu brillamment terminer sa prestigieuse carrière, marquant soixante buts en quatre-vingt-dix-huit matches. En face, en blanc, ce sont les joueurs du Santos. Le seul club dans lequel Pelé ait jamais joué avant de venir à New-York. 11 les connaît tous. Même les plus jeunes. Comme Juary, dix-huit ans : « Quand je l'ai vu, dira Pelé, il m'a rappelé moi, quand j'avais son âge. C'était très émouvant ». Autant que cet hymne brésilien chanté dans un silence de cathédrale par Sergio Mendes et son épouse, simplement accompagnés d'une guitare. Autant que l'hommage de toutes les équipes d'enfants — garçons et filles — du Cosmos qui vinrent remettre, une par une, à Pelé un gros bouquet de fleurs blanches. Autant que ces quelques exercices d'assouplissement accomplis, pour la dernière fois, avec le même sérieux qu'avant une finale de Coupe du Monde. 11 est vrai qu'il en a disputé deux. Et qu'il les a gagnées !
Malheureusement, nous savions que ce match Cosmos-Santos n'aurait pas la densité d'une finale de Coupe du Monde. Pourtant, dès la trentième seconde de jeu,Pelé, revenu à la limite de sa surface de réparation, intercepte et lance magnifiquement Chinaglia sur l'aile gauche. Ovation. Cinq minutes plus tard, au milieu du terrain, Pelé contrôle admirablement une balle aérienne par un amorti de la poitrine, dribble un défenseur brésilien et passe à Hunt ; mais Ernani, le goal du Santos s'était bien avancé. Décidément, pour ces adieux, Pelé ne ménageait pas ses effets. Il est vrai qu'intelligemment, aucun joueur de Santos ne marquait Pelé. Soixante-quinze mille personnes s'étaient déplacées pour voir Pelé, on n'allait pas les priver de ce plaisir ! Beckenbauer le premier, qui, en quelques une -deux, nous fit bien regretter que cette association de rêve ne se soit pas réalisée plus tôt...

Dans deux minutes, c'est la mi-temps et Santos mène 1-0. Anecdote ! Tout le monde n'a d'yeux que pour Pelé ! Heureusement, Field, l'Anglais du Cosmos, est fauché à une trentaine de mètres des buts d'Ernani. Coup franc. Le roi s'élance, de cette fameuse course chaloupée reconnaissable entre toutes. Boum ! Un boulet terrible au ras du poteau. Ernani pourra raconter qu'il est le dernier goal à être allé chercher une balle signée Pelé au fond de ses filets. Et sans en avoir honte. Un coup franc d'anthologie. Même s'il est exact, comme le remarqueront quelques esprits chagrins, que le mur n'était pas très consistant. De toutes façons, comme on dit, il fallait le mettre !
Alors, là, c'est le délire. Soixante-quinze mille personnes debout, oublient que depuis un quart d'heure, il pleut des cordes, hurlent leur joie et laissent tomber leurs parapluies pour applaudir. Pelé parcourt le stade en bondissant, mais finalement Carlos Alberto, Beckenbauer et quelques autres l'attrapent, Le voilà par terre, submergé de joie et d'affection. A la télé, nous revoyons au ralenti ce but historique, le 1378e (chiffre officiel du Cosmos !) et ensuite, Mme Pelé, émue, émue...

 Juste après le match, Pelé avouera : « Aujourd'hui, je suis mort un petit peu ». Bien sûr, mais n'était-ce pas surtout le symbole d'un certain football en voie de disparition —offensif, technique, chaleureux— qui s'en allait ?
Mais après ce but, plus rien ne pouvait plus nous arriver. Ni la pluie, ni la médiocre deuxième mi-temps pendant laquelle Pelé joua avec le Santos (qui perdit finalement le match 2-1) ne parvinrent à gâcher notre plaisir. D'autant plus que la cérémonie d'échange des maillots à la mi-temps, sous l'oeil complice et humide de «papa Pelé» fut bien belle. Comme le tour d'honneur de Pelé à la fin du match, porté en triomphe par les vingt-deux joueurs des deux équipes. Images uniques et émouvantes qui ne se racontent pas. Ni ne s'oublient...



 
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A East Rutherford, New Jersey, ce jour d'octobre 1977, dès la trentième seconde, Pelé lance magnifiquement l'Italien Chinaglia sur le côté gauche. Ovation. Cinq minutes plus tard, au milieu du terrain, il contrôle admirablement un ballon aérien d'un amorti de la poitrine, dribble un défenseur brésilien et lance Hunt. qui échoue devant le but. Il reste deux minutes avant la pause, la pluie redouble d'intensité. Santos mène 1 -0 et le Cosmos obtient un coup franc bien placé. Pelé s'élance et, d'une frappe sèche au ras du poteau, égalise dans une liesse indescriptible! C'est le 1 282S et dernier but du Roi, salué par un tonnerre d'applaudissements. A la pause, sous le regard ému de son père, il a changé de maillot, endossant la tunique blanche de Santos, comme il le fit un jour de septembre 1956, pour la première fois. Dès le coup de sifflet final, au sortir d'un ultime crochet court, le champion brésilien est hissé sur les épaules des vingt et un autres acteurs de ce mémorable événement, pour un triomphal tour d'honneur. 
Torse nu, bras levés, il salue la foule, impérial. "Ce soir, c'est comme si je mourais un peu, lâche-t-il, la voix brisée, devant une forêt de rnicros. Trois fois champion du monde (même s'il ne disputa pas la finale de 1962), l'homme qui, tout au long de sa riche existence, avait visité 95 pays, été l'hôte de 15 rois, 6 empereurs, 55 chefs d'Etat, 80 présidents et 3 papes; l'homme qui réussit à faire cesser une guerre (celle du Biafra, où fut décrété un cessez-le-feu de 46 heures pour permettre au public d'assister à un match-exhibition] et à faire expulser un arbitre qui l'avait lui-même sorti (sous la pression du public, Pelé avait regagné le terrain et le référé, les vestiaires!), ce petit homme noir s'en va maintenant d'un pas triste et léger. Il s'engouffre dans le tunnel du Giants Stadium, laissant, derrière lui, un sillon de lumière et d'inoubliables instants de pur bonheur. Sans lui, le football ne sera plus jamais tout à fait le même. Au revoir, monsieur Pelé...





New York Cosmos "Soccer Spectacular Goals" 55 Great Goals 1977 1983

  Italian Giorgio Chinaglia scored more goals than any player in NASL history, earning 193 goals in 213 regular season games, and 50 goals in  43 playoff games for the Comos in his 7 year North American career.  His  career started with Swansea in the Welsh league in 1964-65, continuing to Italy 3rd Div. Massese and Internapoli before being signed to Lazio in 1969-70, where he had a distinguished career before being signed by  the Cosmos in 1976. During his NASL career, he because one of the league's most recognizable players, being the NASL's leading scorer in 1976, 1978, 1980, 1981, and 1982.  He was NASL MVP in 1981, and lead the Cosmos to four championships in 1977, 1978, 1980 and 1982.  Later in his NASL career, 

Chinaglia obtained US citizenship and was able to count as American to  help meet the Cosmos USA player quota. (1981?).  A highlight was the  1980 playoffs where he scored 18 goals in 7 games, including seven goals  in one game against Tulsa.  In late 1983 early 1984 he bought a chunk of the Cosmos. In 1985 after the NASL had gone out of buisness he tried to keep the Cosmos alive with a series of exhibition matches.  Fifteen were organized but only three ended up being played before he  pulled the plug as he was losing too much money.

Little wonder that the world was stunned when he came out of retirement to  play for the New York cosmos during the 1975 season.  His signing at an  unprecedented salary (estimated to be a total of $7,000,000 for six years; three as player, and three as "ambassador of the game) brought instant  recognition to the NASL and gave the league a genuine chance to establish  itself as a major sports league in the USA and gave the sport its best  chance of establishing itself in the country.  

Fans nationwide took  notice; to this dat many older MLS fans who became fans during the NASL  days can point to his signing as what attracted their attention.
When one considers the revolution in US soccer that resulted from the  attention paid to pele's signing it is amazing to remember how short his  tenure was - less than 2 1/2 seasons, where he scored 39 goals in 64
games, winning recognition as 1976 NASL MVP and leading the Cosmos to  victory in Soccer Bowl '77.  After his retirement in 1977, Pele played for  both sides in an emotional exhibition game between Cosmos and Santos  played to a thundering sellout crowd of 76,000 in a ferocious downpour at  Giants Nstadium before a national network TV audience.  A perfect end to  an incredible career.



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New York Cosmos A Dream Fulfilled Nasl 1977

Le New York Cosmos occupe une place toute particulière dans le football international. C'est l'une des équipes les plus récentes, puisque sa création ne remonte qu'à 1971, mais c'est aussi Tune des plus célèbres autour du monde. Depuis 1975, lorsque le monde entier appris que Pelé, officiellement retiré depuis un an, avait accepté de faire ses valises pour le club de la grande métropole américaine. A cette époque, le Cosmos ne disputait pas encore ses matches dans la superbe arène du Giants Stadium, le stade le plus moderne du monde. C'était l'époque du Downing Stadium de Randall's Island. Peu importe, les Américains allaient avoir la chance d'applaudir le meilleur joueur du monde qui allait réussir à mettre le « soccer » sur orbite nord-américaine. Les signatures d'autres stars, cette fois du football européen, comme China-glia et surtout Beckenbauer allaient en trois saisons propulser le Cosmos au sommet. 1977 sera l'année du triomphe et des premiers records. 

Plus de soixante-dix-sept mille spectateurs pour le second tour des « playoffs » contre Fort Lauderdale jusqu'au sacre de Portland, pour le Soccer Bowl, contre Seattle Sounders. Ils furent tout aussi nombreux à venir saluer le dieu vivant du ballon rond pour son match d'adieu à l'issue duquel il tomba, en larmes, dans les bras de son ami et partenaire Carlos Alberto. Un nouveau chapitre du Cosmos allait s'ouvrir avec les « modestes » Tueart, Yasin ou Bogicevic. Mais sur sa lancée, l'équipe de New York allait s'adjuger un second Soccer Bowl consécutif. En faisant beaucoup de jaloux. Certains reprochèrent aux dirigeants du Cosmos d'avoir faussé le jeu. En investissant des fortunes sur des joueurs célèbres, ils portaient préjudice à la quasi-totalité des équipes de la N.A.S.L., aux moyens plus modestes. Et de souligner que la totalité des salaires annuels d'une équipe comme Hawaï étaient inférieurs au salaire de la plupart des joueurs du Cosmos. Et de rappeler que ces transferts à prix fous entraînaient une surenchère impossible à suivre. C'était une vision des choses. Phil Woosmam, à la tête de la N.A.S.L., était d'un avis contraire. 

C'est le Cosmos qui avait fait sortir le « soccer » du ghetto des rubriques spécialisées. D'autre part, la réussite du Cosmos pouvait inciter d'autres promoteurs à bâtir des équipes de « soccer ». Enfin, la plus grosse recette de l'année était toujours réalisée lorsque les visiteurs étaient les onze joueurs du Cosmos, amenant ainsi à chaque club un potentiel supplémentaire de spectateurs. Les passions allaient se calmer d'autant plus qu'en 1979, les Vancouver Whitecaps, futurs vainqueurs de l'épreuve, barraient la route du Soccer Bowl à Beckenbauer et aux siens. La première grande recrue de 1980 allait être l'entraîneur de Cologne, Hennés Weisweiler qui signait un contrat de deux ans, prenant la suite d'Eddie Firmani. Julio César Romero, l'un des meilleurs joueurs d'Amérique du Sud, venant renforcer l'équipe, rejoint un peu plus tard par l'international belge François van der Elst. Des renforts qui allaient être suffisants pour mener vers le succès lors du Soccer Bowl 1980 qui l'oppose à Fort Lauderdale, à Washington. Romero et Chinaglia, par deux fois, allaient faire la différence. Comme pour mieux préparer le match d'adieu de Beckenbauer qui vit Pelé lui-même effectuer sa rentrée et marquer encore un but.


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Tuesday, April 12, 2011

World Cup 1958 Brasil France

Semi Final
24 june 1958
Råsunda Stadium, Solna

Attendance 27 100
Referee : Benjamin Griffiths

C'est le grand Brésil que Kopa et ses camarades doivent affronter le 24juin à Stockholm, cinq jours après leur victoire sur l'Irlande. Les Tricolores passent les deux derniers jours avant l'affrontement à Saltjobaden, station de plaisance réputée située sur le bras de la Baltique, à 20km de Stockholm. Kopa déclare : "Maintenant nous pouvons perdre et c'est pour cela que nous gagnerons !"
En fait, l'équipe de France va rencontrer ceux que l'on considère comme des phénomènes qui le sont physiquement et techniquement et qui bénéficient en outre d'une préparation modèle. Avant de venir en Europe, tous les joueurs brésiliens ont subi un examen médical devant une "junta Medica", de vingt-six spécialistes : rayon X, analyses de laboratoire, biométrie, examen général, examen clinique, coeur, circulation périphérique, muscles, os et articulations, dermatologie, oto-rhino-laryngologie, endocrinologie, appareil respiratoire, ophtalmologie, psychotechnique, odotontologie.

C'est un tournant décisif dans l'évolution sportive du Brésil. Sur le terrain, le Brésil fait sensation avec une organisation de jeu expérimentée en 1956, appliquée dans la majorité de ses grands clubs, et qui va faire de nombreux émules : 4-2-4.
Comme il possède également deux phénomènes (Garrincha et Pelé) qui s'ajoutent aux excellents joueurs que sont notamment Gilmar, Didi, Zito, les deux Santos (qui ne sont pas frères) Zagalo, etc...la tâche française s'annonce difficile.
Elle l'est d'autant plus qu'en ce jour de 24 juin à Stockholm, le Brésil joue son meilleur match du tournoi et s'élève vers des sommets inaccessibles au commun des mortels, sur le plan défensif notamment. En outre, un drame - la blessure de Jonquet à la 34e minute dans un choc avec Vava - va obliger l'équipe de France à jouer à dix et on peut regretter aujourd'hui que le règlement n'ait pas autorisé à l'époque le remplacement d'un joueur blessé, surtout en demi-finale de Coupe du Monde. Au moment de la blessure de Jonquet, l'équipe de France n'est pas encore battue malgré le but de Vava marqué dès la 2e minute sur une pase de Jonquet à Lerond interceptée.
Car Fontaine le superbe a aussitôt marqué un but d'anthologie, le premier concédé par Gilmar. Et quand Didi, d'un tir très pur et fulgurant a marqué de 25 m Jonquet se faisait masser sa fracture sur la touche.

La belle histoire est finie. Avec dix homme valides il n'est plus question de battre les invincibles. Les attaquants tricolores viennent au secours de leurs camarades défenseurs et les Brésiliens qui craignent la pétillante attaque française peuvent dormir sur leurs deux oreilles. De 2-1 le score monte à 5-1 par la grâce de celui qui va devenir le meilleur joueur du monde, Edmondo Arantes do nascimento surnommé Pelé : 5"e, 64e, et 76e minutes. Et si Piantoni adoucit la note (83e) la déception française est tout de même assez vive, teintée d'injustice et de regret, tandis que la foule du Rasunda Stadion explose de joie parce que la Suède à Goeteborg, marque par Hamrin son troisième but contre l'Allemagne (3-1) et se qualifie pour la finale. (www.om4ever.com)



Buts : Vava (2e), Didi (39e), Pelé (52e, 64e, 75e) pour le Brésil. Fontaine (9e), Piantoni (82e) pour la France.
Brasil : Gilmar - de Sordi, N. Santos, Zito, Bellini, Orlando, Garrincha, Didi, Vava, Pelé, Zagallo.
France : Abbès - Kaelbel, Lerond, Penverne - Jonquet, Marcel - Wisnieski, Fontaine, Kopa, Piantoni, Vincent.

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